lundi 28 août 2006, par
Ainsi Jack White a envie de se changer les idées. Il a laissé un temps Meg pour se ressourcer avec Brendan Benson et consorts.
Il n’est pas allé bien loin dans le temps notez-bien. Il retrouve ici un rock aux accents typiquement seventies. La ressemblance avec Led Zeppelin est patente sur la plage titulaire qui est peut-être le plat de résistance. Plus grâce aux intonations de Jack White et à la structure de la mélodie qu’à la musique bien plus légère. Certains morceaux sont agréables, mais pas inoubliables Totgether). Mais on retrouve aussi des traces de Kinks (Store Bought Bones) ou des ambiances plus proches du dernier White Stripes (Level), mais en moins intransigeant.
Un album qui respire le talent et la facilité d’écriture et d’interprétation, mais qui est un exercice de roue libre. Le son est d’emblée excellent, mais l’esprit n’était pas à la recherche. C’est à la fois une qualité puisque c’est léger et que certains morceaux sortent du lot (Intimate Secretary) mais aussi un désavantage comme l’intensité exacerbée des White Stripes n’est pas au rendez-vous. Il faut donc savoir ce que l’on cherche à l’approche de cet exercice. Le souvenir en est bon, mais les écoutes futures seront limitées par la pléthore d’autres sorties plus innovantes. (M.)
Le substrat musical sur lequel a poussé ce cinquième album de They Call Me Rico, projet de Frédéric Pellerin du groupe Madcaps, c’est l’americana et le blues. Et on le sent, souvent. Certains morceaux en sont encore baignés (This Old Dog, Don’t Let You Go Down). Wheel of Love est plus proche de ce canon rock et dans l’ensemble, c’est un fort plaisant rappel de la base de tout ceci.
Mais si (…)
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Un lapsus peut vous propulser dans l’actualité. Un émail signé War Regards à la place du Warm Regards donne à cet album du groupe de Chicago un air de prémonition inévitable.
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Sortie du désert.
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