dimanche 25 juin 2006, par
Comme je n’ai jamais pu écouter un album de My Bloody Valentine sans ennui, voici le meilleur de ce qu’on appelé la dream pop. Inexpliquablement, cette variété bruitiste mais mélodique en vogue dans la première partie des années ’90 n’a pas perduré et ses groupes se sont perdus en route. Inexplicablement parce qu’ici, un titre comme Dream burn out a une véritable puissance. Ce qui est agréable, c’est le mélange de tension et de douceur. Ce n’est pas un album difficile à écouter, bien au contraire. La langueur et un esprit pop mais novateur doivent vous convaincre. Témoin très intéressant d’une époque révolue, ce serait dommage de passer à côté. (M.)