mardi 8 août 2006, par
On prend les mêmes et on recommence. La plage titulaire est conforme aux albums précédents et sonne comme un hymne hédoniste mais c’est après que ça change. On est ici emportés plus loin dans l’électronique (Jaloux). Pas de balade en vue, rien que du fort, du dansant.à la limite, la musique seule suffirait. On a donc un ’plus’ humain qui n’est pas de trop dans le monde de la nuit. Mais c’est surtout sur deux titres que le mélange prend, Noir désir et KL. Le premier est simplement irrésistible (si ça ne vous fait pas d’effet, c’est que vous êtes malades des souliers) et le second est un délire bruitiste récurrent. Un peu plus abrupt et moins varié que le précédent évoqué, il mettra quand même une animation de bon aloi dans vos fêtes. (M.)
Si le hasard ou l’habitude vous guident vers ces colonnes, c’est qu’une certaine curiosité musicale vous titille. Partant de ce postulat, on se permet souvent de plonger dans des pans plus aventureux de la musique, quitte à s’y perdre parfois. Cet album parait sur Ormo records qui nous avait déjà gratifié d’œuvres comme Alan Regardin ou No Tongues, défricheurs de possibles (ref belge) (…)
Lire une étiquette est une règle de bonne pratique avant d’ingurgiter quelque chose. Le nom de l’album du Milanais Lorenzo Parisini qui officie sous le nom de Bear of Bombay ne laisse planer que peu de doute quant à son contenu et on l’avale d’un coup d’un seul en parfaite connaissance de cause.
PsychoDreamElectroGaze donc... Tout est là, avec une densité certaine de Tears From Space, qui (…)
Instrumentale d’obédience un peu électronique, la musique de Bruno Green a un certain pouvoir de séduction. Tout comme Frank Marchal dans un passé récent et un genre pas trop éloigné, le Français établi au Canada depuis 17 ans peut se targuer d’une expérience certaine. Citons par exemple l’enregistrement, le mixage et la réalisation des deuxième et troisième albums de Miossec, des albums de (…)
Si les références historiques de la musique synthétique de Franck Marchal sont à aller chercher du côté de John Carpenter, on signale aussi les relectures modernes et enthousiasmantes de Magnetic Rust ou Odyssée.
Les cordes ne sont pas l’ingrédient privilégie ici, mais le résultat n’est pas sans rappeler des choses comme Ô Lake. Son expérience en tant qu’auteur de musique de film n’est sans (…)