En réponse à :
10 août 2006, par marc
Quand vous aurez dansé, déprimé, fredonné et, que la nuit venue vous chercherez le repos, il vous restera Feist et son premier album tellement attachant. Parce qu’il n’y a pas que les dancefloors et les grandes orgues dans la vie.
Fortement teinté de folk (Mushaboom), de soul (Leisure suite) et de plein d’autres bonnes choses (Let it die), la première oeuvre de cette prometteuse Canadienne promène sa mélancolie tenace (Lonely lonely et sa simplicité désarmante) et son écriture impeccable sur onze (...)