Votez Joséphine
Sortir des albums nerveux mais pas bruyants ou brouillons, pratiquer l’humour décalé et réaliste dans un genre qui s’accommode souvent du potache, voilà qui nous avait rendu Love Is All plus que sympathique, réellement salutaires. Vu les réactions enthousiastes glanées ça et là (lisez le Mmarsupilami par exemple), je ne suis pas le seul. Mais contrairement à beaucoup, j’ai un peu moins goûté à ces 2010 blessures (ou blessures de 2010, c’est selon).
Bigger Bolder, c’est (…)