C’est marrant, je viens justement de le réécouter dans un contexte un peu différent (un petit déjeuner de lundi matin pas laborieux) et en effet ça passe parfaitement la rampe. Mais si au final j’ai retenu plus que ce que j’aurais pensé de prime abord (certains arrangements sont très bien trouvés), il manque un peu de gniaque pour que tout puisse séduire. Donc, cet album ne va pas s’oublier facilement, il va rejoindre ceux de Seabear, Efterklang, Fink ou Piers Faccini sur la longue liste des albums pas nécessairement chefs-d’oeuvre qu’on réécoute plus souvent que ceux qui nous ont enthousiasmé le temps (...)