En réponse à :
18 juillet 2010, par Laurent
Massacre à la tronçonneuse
Maya Arulpragasam est un paradoxe vivant. Son personnage de rappeuse militante, imprégnée d’un authentique vécu de la guerre civile tamoule, en fait d’une part une des plus crédibles incarnations de la révolution musicale du 21e siècle, loin des demi-mesures et des compromis. Le mélange ébouriffant de musiques urbaines (electro, funk, grime) et exotiques (dancehall, ragga) dans lequel elle a plongé ses deux premiers albums, sous la houlette des indispensables Switch et Diplo, (...)