En réponse à :
4 août 2010, par Laurent
Beauté changeante
Parfois, les intentions d’un artiste peuvent laisser perplexe, auquel cas il n’y a sans doute rien d’autre à faire que s’en remettre tout entier à son art, indépendamment du contexte qui le sous-tend ou du parcours qui l’explique. Et l’art de Jason Lytle, ancien orfèvre barbu de Grandaddy, c’est celui du contre-emploi troublant, de la poésie inattendue. Avec son groupe ou en solo, l’homme s’est révélé (p)artisan de l’incroyable, bricoleur de lumière, rafistoleur d’éther. (…)