Pour "Turn On The Bright Lights", imaginez vous qu’on est en 2002. le début de la décénie, le début d’un nouveau siècle. C’est nouveaux, on met en avant un groupe qui fait du Joy Division. Mais oublié le facteur temps, pensé à cet album qui surpasse nettement les 3 autres effectivement. On a un album qui tourne bien du début à la fin, sans vraiment être répétitif (bon il faut s’habituer à la voix, mais ça c’est un concept qui prend toujours du temps. c’est comme Shearwater et bien d’autres groupes sûrement...) , un album sombre où sa voix donne froid dans le dos, on avait une sensation qui ressortait de sa (...)