Errances
J’ai toujours eu le plus grand respect pour Souad Massi, demi-déesse cristalline responsable d’au moins deux magnifiques albums de folk arabo-andalou. “Raoui” puis “Deb” offraient un écrin limpide à la plus belle voix qu’ait enfantée la croisée des mondes oriental et ibérique – ne serait l’organe peut-être encore plus renversant de Yasmin Levy. Par la suite, “Mesk Elil” voyait l’Algérienne embrasser les sonorités moins épicées de la variété internationale ; pourtant les chansons (…)