Un album électro, c’est un drôle d’objet. Déjà que les compilations peinent souvent à garder leur intérêt sur la longueur, alors, un premier album de petits belges portés par un hymne catchy et interpellant (I don’t want to have sex with you - pensez tout de même que selon les dires des auteurs il s’agirait plutôt d’une réaction face au viol qu’une dispute de ménage, et ça le fait tout de suite moins côté gaudriole..), on ricane bêtement.
Moins bêtement depuis qu’un autre single (I can’t (…)