il est amusant de constater que ton article s’appelle ’Mes années 2010’, puisque le constat pertinent que tu y poses est applicable à quelques exceptions près aux dernières années. On a toujours vécu en revival finalement, et le frisson de la vraie nouveauté est un luxe que toutes les générations n’ont pas connu.
Mais c’est vrai que le mouvement s’est encore accentué, tout en se morcelant paradoxalement. Parce que maintenant, on peut mettre du sixties-like, seventies-like ou eighties-like sur presque tout. Mais ce n’est, encore une fois pas neuf. Ce qui l’est, c’est que même une forme d’expression plus (...)