J’aime ce garçon et ce qu’il représente pour notre chanson locale. J’ai d’ailleurs longtemps cru que Sharko était son nom à lui tout seul. J’ai même réussi, il y a dix ans, à le faire aimer et écouter par des Australien, Canadien et Américain. Comme avec les gens qu’on aime un peu trop, il y a toujours une appréhension peu raisonnable devant un nouveau travail. Connaissant préalablement ton avis, le stress baisse !!!
:-)