La discrétion
La discrétion n’est pas toujours un effet secondaire, elle peut être carrément un état d’esprit, voire un style. Nous ne parlons pas du genre volontairement fauché et lo-fi dont le misérabilisme sent la mise en scène, non, nous voulons parler de ces albums qui ne nous font pas signe, ne nous appellent pas, mais desquels il est impossible de se défaire. Cette attitude peut se marier à tous les styles, de la balade au piano en demi-ton de Gem Club à l’intensité rentrée de The Antlers en (...)