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25 novembre 2011, par Laurent
Amour-haine
Déjà trois albums pour le duo nantais qui s’est montré capable, depuis l’aube de son parcours, de façonner un univers très personnel, tout de chair et de sang noir. Dans leur monde cruel et râpeux, la corde est raide et coupante comme le rasoir ; on est quasi en permanence au bord d’un précipice chargé de ronces, tenté par l’automutilation, attiré par une douleur qui fascine autant qu’elle révulse. La douceur, elle, est une vague illusion, comme une nuit à même le sol sur une (…)