De synthèse
Même en 2012, même en pleine hégémonie des réseaux sociaux, le pouvoir d’un single qui passe à la radio ne se dément pas. Ainsi, il suffit toujours d’une seule chanson pour devenir célèbre. Et quand la chanson est bonne (et Video Games l’est indéniablement), la curiosité pour le premier album est fatalement attisée. Si on ajoute une interview assez surréaliste des Inrockuptibles (pimentée par la mauvaise foi du journal qui en devient artistique) qui montre qu’elle n’est plus (…)