J’avais tellement aimé le précédent album que ta chronique, c’est un peu comme l’ultime glaçon qui, tombé dans le verre du capitaine, fut finalement déterminant pour entraîner le Titanic vers le fond. Demain, promis, je reviens avec un pitch un poil plus élaboré. On y verra Spencer Krug jouer une version kraut de "Plus près de toi mon Dieu" constituée de boucles infinies...