J’ai déjà exprimé de ci de là des réticences. Et puis, à force d’écoutes, toutes s’effondrent. Je cherchais une explication et celle-ci me tentait en fin de course : on est ici dans le même cas d’école qui fut celui de Léo Ferré. On lui reprocha le jour où il orchestra un peu trop, tant il nous avait effondré dans un chant presque nu. Le parallèle entre Dominique A et Ferré me semble d’ailleurs de plus en plus évident. Et, pour conclure, la question de l’accompagnement étant de mise, je suis très, très impatient de le voir dans le cadre des Nuits Botaniques avec un quintet de (...)