Pour la seconde partie
En choisissant un mot-clé pour un album, il est dommage qu’en sus des ‘post-rock’, ‘folk’ et autres ‘dépressif’ on ne puisse ajouter ‘subjectif’. Parce que depuis une première rencontre fortuite un vendredi pluvieux (je ne me souviens plus de la météo, mais comme c’était un vendredi à Seattle…), je n’ai jamais renié un attachement parfois irrationnel pour Frida Hyvönen.
Irrationnel ou subjectif pour au moins deux raisons opposées. Tout d’abord parce que ce sont (…)