On pourra nous reprocher plein de choses, mais pas de lâcher trop vite l’affaire quand on fait une découverte. Ce qu’on ne pourra jamais prétendre non plus, c’est qu’Alex Keiling est un artiste indolent. En deux ans et demi, ceci est en effet son quatrième album. Comme il a la bonne idée d’alterner le plus nu et le plus orchestré, c’est une belle discographie qu’il s’est constitué en peu de temps.
On retrouve aussi le côté plus léger (enfin, léger comme Elliott Smith quoi) sur le premier (…)