La prolixité d’un auteur peut être un obstacle à sa visibilité. Le cas de l’Ecossais Kenny Anderson est assez exemplaire de ce point de vue. Alors qu’on lui attribue une quarantaine d’albums, il semble n’en avoir jamais assez. Même si on a été plus que séduits par sa magnifique collaboration avec Jon Hopkins ou son album d’il y a trois ans, on est depuis passés à côté de plein de choses de sa part, sans doute délectables. C’est comme ça, on regrette rarement de rater un métro s’il y en a (…)