Aller voir un groupe américain un soir d’élection plus que tendue, ce n’est vraiment pas anodin. Car si le créneau d’Okkervil River n’est clairement pas la protest-song, les inquiétudes de son leader sont assez compréhensibles et partagées. Il ne doit pas être très heureux à l’heure qu’il est.
Les premières parties, on aime ça, on ne l’a pas caché. On n’est jamais à l’abri d’une déception, certes, mais c’est une très bonne façon de faire des découvertes. Et L.A. Salami en est (…)