On replonge toujours dans le monde inquiétant de Xiu Xiu avec un peu d’appréhension, comme quand on descend dans une cave humide qu’on n’a pas encore exploré. Mais on sait aussi que cette cave peut receler des trésors et on en remonte soulagés et ravis.
Dès les premières écoutes, on sait qu’on n’a pas affaire à un Xiu Xiu trop obscur. Surtout le premier morceau The Call qui ne présente pas de rupture trop rude. On y entend certes quelques éructations mais ce ne sont pas elles qui cristallisent (...)