Les derniers albums de Fink étaient très enthousiasmants, et son style assez reconnaissable s’y épanouissait dans quelques montées électriques bien senties et maîtrisées. On a senti la fin d’un cycle, un certain aboutissement. Difficile d’encore monter en intensité en effet. Que faire dès lors ?
Changer de style, se mettre au blues dans ce qui est vendu comme un projet parallèle (la mention de ‘vol.1’ semblant même suggérer une suite possible). Si on comprend qu’il veuille marquer une (…)