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5 février 2018, par marc
On ne va pas faire semblant que Mèsico, le projet solo du musicien Paolo Mazza (Tempelhof) nous était connu. Mais on a pris l’habitude de nous frotter à des inconnus, sachant que la gratification était souvent au bout de l’oreille.
Une voix en retrait dans le mix, une musique faisant la part belle à des instruments non organiques, on devine un homme plus ou moins seul aux manettes. Dans le genre, on peut se rappeler de ce que faisait Aqueduct (on ne s’en souvient généralement pas, (…)