Il est des artistes plus faciles à suivre que d’autres. Si la barrière de la langue n’empêche nullement de profiter de la musique d’Alina Orlova (on y reviendra), traquer ses sorties via les médias (sociaux ou autres) est autrement ardu. Mais l’effort est souvent récompensé tant elle nous est précieuse.
88 était un album plus synthétique dans le son et l’incorporation était passablement datée. Elle revient ici à une forme plus classique et on ne s’en plaindra pas. Parce que ce classicisme (…)