Il l’avait annoncé, Dominique A avait des envies électriques et acoustiques assouvies sur deux albums distincts cette année. Première constatation, on n’est pas dans une dualité électrique toutes guitares dehors/feu de camp telle que la pratique, disons, un Neil Young. Mélanger ces titres à ceux de Toute Latitude est envisageable sans avoir de résultat déroutant, sans doute parce qu’ils sont issus des mêmes sessions. Les structures des morceaux sont construites autour d’arpèges (sa référence avouée dans (...)