En réponse à :
14 novembre 2018, par marc
Oui, l’angoisse de la page blanche existe aussi pour le critique. Elle survient majoritairement pour des albums qui plaisent sans qu’une explication claire ne vienne corroborer l’agréable sensation. Alors, on écoute, encore et encore, et puis on se lance, malgré tout.
On peut parler de faits, aussi, glaner çà et là quelques éléments biographiques. Mathieu Kùzylarsen a donc parcouru le monde, trimballant son sac à dos en Tunisie, Jordanie, Liban ou Turquie. Les voyages forment la jeunesse (…)