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24 mai 2019, par marc
Vitalic nous avait ouvert une porte, il y a une quinzaine d’années. Dans la queue de comète d’une vague electroclash qui s’étiolait, il nous avait donné le goût de la baston sonore, des prestations un peu grisantes. Ce n’était pas toujours subtil, vraiment pas même, mais on s’est découvert une addiction pour ces pulsions sudoripares. Et si les albums se sont succédé sans toujours convaincre sur la longueur, il restait des petites giclées d’adrénaline à chaque fois.
Aujourd’hui, Pascal (…)