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5 juillet 2019, par marc
Intuitivement, on ne place pas la Suisse dans les viviers créatifs. Pourtant, entre Odd Beholder, Sophie Hunger, Ventura, Anthony-Cédric Vuagniaux, Fai Baba, Duck Duck Grey Duck ou Adieu Gary Cooper il y a de quoi faire dans une revigorante variété.
L’emploi de trois langues est une bonne idée et donne du cachet. On se concentre donc sur le résultat de Mauern et on doit bien admettre que c’est réussi, un peu abrasif tout comme il faut. Hazel’s Hope rappelle un peu les ambiances de Portishead, la (...)