On a beau n’avoir parlé que de la moitié des huit albums de Brisa Roché, la francophile américaine fait partie de nos connaissances de longue date. Elle semble continuer sa veine plus acoustique déjà entamée avec l’intime Father mais pousse le curseur encore plus loin. Pour avoir connu ses inclinations jazzy, c’est tout de même déroutant.
Except for Love est ainsi un pur guitare-voix et les morceaux peuvent ainsi être bien courts. Summerelo fait un peu plus d’une minute et ça marche fort bien comme ça. (...)