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24 février 2020, par marc
On sait qu’on écoute un album de Destroyer après approximativement une seconde et demi. C’est ce qui se produit ici et on se retrouve toujours chez soi. Ou plutôt chez lui. Et ses meubles ont changé de place. C’est que le Canadien Dan Bejar a beau avoir un ton bien à lui, pratiquer une musique toujours sophistiquée, élaborée et très adulte, il réserve toujours des surprises et sa discographie n’est pas linéaire, loin s’en faut.
Si vous l’avez vu sur scène, vous savez que musicalement, Destroyer c’est (...)