Il y a quelque chose de touchant finalement dans ce premier album éponyme de Kill the Young. Cette façon de proposer un rock épique trop légèrement suranné pour être vintage. En effet, c’est sans aucun doute vers Placebo et encore plus Muse (c’est particulièrement flagrant sur Addiction qui tient parfaitement la route) qu’ils lorgnent. Ils montrent d’ailleurs un bel aplomb comme en témoigne leur single The Origin Of Illness.
Mais les temps ont beaucoup changé par rapport à la fin du siècle (…)