Il est des idées qui ne respirent pas la gaudriole. Quand un projet musical se met en tête d’évoquer l’oeuvre du philosophe Gilles Deleuze tout en ressuscitant l’esprit de Soft Machine, on se prépare à un défi intellectuel. Et en l’espèce on a un peu tort. Certes ce n’est pas un album pour profiter du soleil d’automne mais le trio formé de Jacques Barbéri, Laurent Pernice et Philippe Perreaudin reste dans des genres qui nous plaisent et d’une musicalité jamais démentie.
Les guitares acides de The Tears (...)