Il est vrai que je ne peux cacher un certain penchant pour les hymnes de l’antépénultième décennie mais je me dois de signaler que non seulement c’est un peu ma jeunesse qui remonte (bande d’ingrats) et que seuls les albums ayant fait leurs preuves ont droit de cité ici.
Quand un groupe commet une perle new-wave comme l’est l’unanimement acclamé Heaven up here en 1981, on a raison de se méfier car rares sont les groupes qui ont réussi à confirmer. Donc, ne faisant rien comme tout le monde, (…)