En préambule, je précise n’avoir jamais entendu parler d’Edgär avant la lecture de l’article et à première vue, le combo a déjà pas mal de bouteille. Ça s’entend par ailleurs sur les titres fort aboutis de cet album, et une identité bien marquée qui constitue pour moi une sorte de chaînon manquant entre Aaron et Indochine (sans ironie). J’avoue être de ceux que la fibre sensible (Dead End, Secret) aura davantage séduits, là où le côté radiophonique d’un The Lights m’a totalement laissé sur le carreau. Adhésion partielle donc, mais découverte franchement enthousiasmante... et les deux tubes introductifs sont bel (...)