On peut reconnaître trois talents à Yann Tiersen : un sens mélodique rare, un carnet d’adresses impeccable (faut-il rappeler ses collaborations ? écoutez plutôt le live C’était ici) et une discrétion qui sied parfaitement à cette musique intimiste.
On retrouve donc ici ce qu’on aime chez le breton qui signe son retour après deux musiques de films (La timbale décrochée avec Amélie Poulain et Goodbye Lenin) et un live. en effet, il faut remonter à L’absente pour trouver la trace d’un album (…)