Si le nom de Stéphane Milochévitch ne vous évoque rien immédiatement, on a déjà dit tout le bien qu’on pensait de lui en tant que Thousand. Si le nom sur la pochette change, le contenu est proche, ce qui est une bonne chose comme on le verra. Si on écoute un peu Milochévitch, on pense énormément à Bashung. Si on écoute beaucoup plus, cette référence s’estompe assez vite et après trois albums, elle n’est plus vraiment là, même si l’aplomb pour déblatérer des paroles qui déconcertent est (…)