Les années ’80 font de la résistance
On ne peut pas se dédoubler. C’est à cause de cette bien regrettable limitation de l’être humain actuel que j’ai raté White Movement au Pukkelpop de cette année. L’enthousiasme de ceux qui y ont assisté m’a encouragé à combler cette lacune.
Il suffit de quelques secondes du titre d’introduction (Kick) pour réaliser dans quelles eaux on vogue. L’intro au clavier est plaisante, la basse rebondit juste comme il faut mais la voix est excessivement typée. (…)