Vol sans histoire
Le cliché veut que l’ennui naisse de l’uniformité. Après une poignée de groupes folk et un après-midi électronique, l’ambiance était plus expérimentale. Ce n’était que la seconde fois de ma vie que j’allais au Cirque Royal. La première fois, c’était pour l’évènement que constituait la première belge d’un certain Arcade Fire (avec Final Fantasy en première partie s’il vous plait). L’assistance est bien plus maigre cette fois-ci mais la salle reste belle et le son très (…)