Vincent retourner maison
Pour moi, il serait plus simple de simplement détester Vincent Delerm. Je pourrais étaler tous les griefs, mettre à jour des tics et habitudes qui se voient comme un Gille de Binche dans une congrégation de Mormons, et tout le monde serait content (sauf Delerm qui s’en cogne). Seulement voilà, Vincent Delerm, j’aime bien. Et les hasards biographiques font que je me retrouve être dans l’écart-type très faible des personnes susceptibles de comprendre une bonne (…)