Cette vision de l’univers de Bon iver (pardon...) est la plus étroite qui soit : comment chipoter devant un tel album ? Mais bon ... rien de très choquant dans tout ça : comme souvent lorsqu’il s’agit d’une épiphanie musicale , pas grand monde n’y prête attention. ce genre d’épiphanie est pourtant rare : depuis Buckley, personne n’avait autant secoué le cocotier que le doux-dingue Justin Vernon sur cet album. Seul inconvénient pour une telle réussite : après à peine deux trois écoutes, il vous sera plus de plus en plus difficile d’écouter les songwriters les plus admirés du moment avec la même bienveillance (...)