Le dernier Loney, Dear est formidable. Emil Svanängen ne s’y réinvente en rien et pourtant, le charme opère encore. Je me disais justement hier, à la nième écoute, que ce garçon méritait décidément sa place au panthéon des tout grands songwriters de la décennie, à côté des Sufjan Stevens, des Konstantin Gropper, des Murray Lightburn. Sinon, je voulais surtout citer deux titres à écouter d’urgence : I Lose It All (sur "Sologne") et Hold Me (sur "The Year of River Fontana")... je ne m’en suis jamais (...)