L’art du brouillon
En général, quand je n’arrive même pas au bout de la première écoute, ce n’est pas exactement un bon signe pour un album. Ce n’est pas un encouragement à y revenir. C’est sans doute un détail biographique sans importance, mais je venais de m’enfiler en entier et sans coup férir le très exigeant Fizheuer Ziheuher de Ricardo Villalobos. Ceci explique sans doute cela. Pourtant, je suis un critique pugnace, ce qui fait que j’ai depuis assez de recul pour vous soumettre un article en bonne (...)