Vincent Delerm est énervant. La bonne affaire me direz-vous, vous qui organiseriez bien une rencontre enrichissante entre la star academy et le côté courbé et tranchant d’une pelle à neige. Bon, alors, on écoute le second album du gaillard avec quelques préjugés. Positifs puisque j’avais apprécié le premier album, la fraîcheur du propos. Négatifs, parce que le ton de la voix peut de révéler vite horripilant et la préciosité n’est pas notre fort. Alors, on le met sur la platine et là, on est (…)