L’art de la guerre
Ça commence comme un conte pour enfants. Time Xone, et l’on sait déjà que les gamins se font dévorer à la fin, tendance Grimm. Des images apparaissent : une forêt victorienne, filmée à la Tim Burton, et les promesses d’un crépuscule qui épelle le mot danger. La menace est palpable, dès les premières notes de We Want War. Martial – quoi d’autre ? – le tempo égrène sont lot d’angoisses avant que les vents se ne joignent au bouillonnant magma sonore, annonçant l’imminence de l’impact.
Ça y (...)