vendredi 11 août 2006, par
Des nouvelles du chapeau à cornes de Jamiroquai ? Non, bon alors parlons de l’album ?
Une fois de plus on y trouve exactement ce qu’on y cherche : des morceaux pop-funk (Feels Just Like It Should , dynamite, Black devil car), des grooves acid jazz downtempo sur lesquelles Jay K joue un peu plus de la voix (Seven days in Sunny June, Talulah, Loveblind), une machine à danser disco ((Don’t) Give Hate A Chance, préparez vos jambes) et puis comme tout le monde un truc electro douteux (Electric mistress).
Jay K nous offre même une chanson triste au piano avec des violons (Benabar, je t’ai reconnu…).
On trouve donc à boire et à manger dans cet album sans que ce ne soit jamais déplacé, à l’exception de cette horreur électronique… Un album qui pourra servir aussi bien pour une soirée entre ami, que pour une fin d’après midi au soleil ou un réveil difficile.
Il ne révolutionnera peut-être pas la musique mais il vous fera danser autant qu’un album des Jackson 5, c’est certain ! (F.)
’Cette année c’est la bonne’. C’est ce qu’on s’est dit quelques fois avant d’abandonner l’espoir d’un nouvel album de The Cure. Lequel n’était même pas indispensable, on les sait toujours capables de longues tournées de longs concerts de longues chansons. Et puis l’intégrité de la bande de Robert Smith, pronant le ticket pas cher à l’heure des prix dynamiques ou privilégiant les longues intros (…)
Nous sommes en 2013. Après un premier album acclamé emmené par le tube Foundations, la star de Myspace a confirmé avec My Best Friend Is You la plupart des espoirs placés en elle et la voici en position de définitivement asseoir son statut avec un troisième album traditionnellement piégeux. Mais elle va relever le défi.
Sauf que vous savez que ça ne ça ne s’est pas passé comme ça. Larguée (…)
Même en 2042 et après avoir sorti 13 albums réussis, The Smile restera ’le groupe des deux types de Radiohead’. C’est comme ça, le groupe d’Oxford est trop ancré dans la culture pop pour passer au second plan de quoi que ce soit. Mais cette encombrante et inévitable figure tutélaire ne doit pas oblitérer les qualités indéniables de The Smile. Les deux protagonistes, flanqués du batteur Tom (…)
C’est un phénomène que j’ai du mal à m’expliquer. Il m’est difficile voire impossible de me plonger dans des œuvres récentes d’artistes que j’ai beaucoup aimés il y a longtemps. Si dans certains cas c’est la qualité de leurs albums qui est l’explication la plus facile (Muse, The Killers, Foals...), c’est plus mystérieux en ce qui concerne Radiohead, Nick Cave ou PJ Harvey.
Il faut dire aussi (…)