vendredi 11 août 2006, par
Des nouvelles du chapeau à cornes de Jamiroquai ? Non, bon alors parlons de l’album ?
Une fois de plus on y trouve exactement ce qu’on y cherche : des morceaux pop-funk (Feels Just Like It Should , dynamite, Black devil car), des grooves acid jazz downtempo sur lesquelles Jay K joue un peu plus de la voix (Seven days in Sunny June, Talulah, Loveblind), une machine à danser disco ((Don’t) Give Hate A Chance, préparez vos jambes) et puis comme tout le monde un truc electro douteux (Electric mistress).
Jay K nous offre même une chanson triste au piano avec des violons (Benabar, je t’ai reconnu…).
On trouve donc à boire et à manger dans cet album sans que ce ne soit jamais déplacé, à l’exception de cette horreur électronique… Un album qui pourra servir aussi bien pour une soirée entre ami, que pour une fin d’après midi au soleil ou un réveil difficile.
Il ne révolutionnera peut-être pas la musique mais il vous fera danser autant qu’un album des Jackson 5, c’est certain ! (F.)
C’est un phénomène que j’ai du mal à m’expliquer. Il m’est difficile voire impossible de me plonger dans des œuvres récentes d’artistes que j’ai beaucoup aimés il y a longtemps. Si dans certains cas c’est la qualité de leurs albums qui est l’explication la plus facile (Muse, The Killers, Foals...), c’est plus mystérieux en ce qui concerne Radiohead, Nick Cave ou PJ Harvey.
Il faut dire aussi qu’elle a pris (...)
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Et il fait bien. Si les albums précédents du groupe d’Oly Ralfe datent (...)
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