dimanche 25 juin 2006, par
Bon, chose promise, chose due, voici donc la critique du second album des Hives, les nouveaux superheros suédois.
Alors que trouve-t-on quand on remonte le temps après s’être groinfré de Tyranosaurus Hives ? On trouve que les Hives finalement n’ont pas juste trouvé la recette miracle sur leur dernier album mais la cultive déjà depuis un petit temps. On retourve donc le même son rétro dans des chansons musclées et catchy qui tiennent juste grâce à un gros riff (Declare guerre nucleaire, Die all right, Main offender), des compos plus échevelés (Outsmarted), des ritournelles kitchounettes mais tout aussi rafraichissantes (Find another girl), et puis tout simplement dans des chansons qui sonnent comme des classiques dés la première écoute (Hate to say I told you so).
Le charisme est déjà là et on ne voit pas bien ce qui pourrait les arrêter à part peut-être la chute d’un piano sur la tête d’Howlin’ Pelle Almqvist,le chanteur hyperkinetique, et encore. Un bon moment de rock’n roll. (F.)
PS:au fait pour les anglophiles, Hives veut dire "urticaire". Ca s’est certain, cette musique là, elle va vous faire vous remuer.