L’album d’après
Il y a les albums qui débarquent de nulle part, puis il y a ceux qu’on attend, enfin les albums qu’on attend fiévreusement. Il va de soi que le successeur de ce qui était mon album préféré de 2007 émarge à cette rare catégorie. Dans ces cas-là souvent, je n’écoute que distraitement les morceaux semés ça et là. Pourtant Bloodbuzz Ohio m’avait bien plu, même s’il n’égalait pas le Fake Empire qui annonçait la tornade de l’album précédent. Si j’avoue essayer d’éviter le côté (…)