En réponse à :
20 octobre 2010, par Laurent
Sans regrets
On en a fait, des conneries. Des souvenirs à la pelle, de quoi raconter des histoires à trois générations de descendants, même si c’est vrai qu’au fond je me rappelle pas grand-chose de nos années de défonce, de libertinage. C’est bien la preuve que je les ai vécues à toute berzingue, comme ces premiers concerts qu’on jouait à s’en cramer les phalanges. Je me souviens de cette cave gothique à Bruxelles, où je n’arrivais plus à distinguer qui j’étais, de Pete ou de moi-même. (…)